Prénommer son fils Titeuf, Superman ou Facebook et sa fille Trottinette ou Citronelle (c’est vrai, cela existe) peut toutefois surprendre mais ce que les parents ignorent probablement, c’est que la justice ne l’entend pas forcément de cette oreille. En effet, choisir ainsi un prénom hors norme et qui pour le moins prête à sourire, voire à se moquer de celui ou celle qui le porte, peut être jugé préjudiciable aux intérêts de l’enfant par les magistrats. Et la Cour de Cassation ne se privera pas de retoquer des initiatives parentales tout de même très particulières. Et c’est heureux
Pierre Vezon