Certes, l’exercice s’avère bien souvent particulièrement délicat mais l’avantage est qu’il est dans la plupart des cas – et c’est logique – bien rémunéré. Or, en ces périodes troublées économiquement, c’est le moins que l’on puisse dire, les conseillers en tout genre travaillent sans filet, tant la visibilité est réduite même à court terme. Bien malin celui qui pourra prédire, sans risque de se tromper, l’avenir des marchés qu’ils soient immobiliers ou financiers. Il n’empêche. La seule certitude est que durant cette période de crise, qui finira bien tout de même par se terminer un jour, dispenser de judicieux conseils prend encore un peu plus de valeur et d’importance. Et le coût dans ce cas-là devient presque secondaire.
Pierre Vezon