Une percée décisive pour le Lyon-Turin
C’est un projet estimé de 24 à 26 Md€, et le véritable démarrage de la dernière galerie de reconnaissance, qui se prolongera sur 9 kilomètres dans l’axe et au diamètre du futur tunnel devait le rendre irréversible, un quart de siècle après sa naissance et 10 ans après les premiers travaux préparatifs. Les élus français comme transalpins, des régions Rhône-Alpes d’un côté, Piémont de l’autre, étaient invités à découvrir le chantier.
Ville de Lyon : un investissement de 600 M€ d’ici 2020
Gérard Collomb, entouré de son premier adjoint Georges Kepenekian et de son adjoint aux finances Richard Brumm, a présenté la situation budgétaire de la Ville de Lyon et sa programmation pluriannuelle des investissements. Malgré une baisse drastique des dotations de l’Etat, réduites à 240 M€ sur l’ensemble du mandat, l’équipe municipale fait le choix de maintenir un haut niveau d’investissement, à 600 M€, bien qu’inférieur à celui du précédent mandat (697 M€). « Nous faisons état d’une situation financière extrêmement saine, ce qui va nous permettre de faire face au contexte difficile qui secoue les collectivités territoriales », a souligné le sénateur-maire de Lyon.
Métropole de Lyon : 3,5 Md€ investis entre 2015 et 2020
Après la Ville de Lyon, la Métropole… qui bat des records en matière de programmation pluriannuelle des investissements, avec 3,5 Md€ mis sur la table entre 2015 à 2020, après 2,1 Md€ sur la période 2002 - 2008 et 3,2 Md€ sur 2009 - 2014, notamment pour les projets urbains et le développement économique. Sans compter l’effet levier sur le Sytral, la Ville de Lyon, les HCL ou encore les offices publics HLM : « Au total, tous ensemble, nous allons mobiliser quelque 7,5 Md€ sur le territoire de la Métropole au cours de la période considérée », complète Gérard Colomb.
25,5 M€ pour l’eau en Rhône-Alpes
25,5 M€ : c’est le montant de la subvention allouée par l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse pour financer 534 opérations sur le territoire rhônalpin. Plus d’un tiers des aides concernent des projets de réduction de la pollution domestique des eaux, 22 % la restauration des milieux aquatiques, 20 % des travaux de préservation de la qualité de l’eau potable ou de renouvellement de réseaux.