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Retro arts plastiques - 1

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Retro arts plastiques - 1
© Daniel Naudé

DossiersRetrospective 2015 Publié le ,

La Biennale des temps modernes

Cette année, le grand rendez-vous lyonnais de l’art contemporain a pour thème « Le fabuleux monde moderne, la vie moderne, la vie d’aujourd’hui ». Thème décliné La Sucrière, au Musée d’art contemporain de Lyon (MAC) et au Musée des Confluences par Ralph Rugoff, directeur de la Hayward Gallery de Londres et commissaire de cette Biennale 2015.Une soixantaine d’artistes, pour l’essentiel européens, ont planché sur les problématiques sociales, politiques ou culturelles contemporaines. Immigration, la fracture sociale, environnement, société de consommation, nouvelles technologies jalonnent les différentes expositions auxquelles se sont associés d’autres lieux emblématiques et galeries de la Métropole. Au final, cette 13ème Biennale de Lyon, moins agressive que celle de 2013 ou que celle de Venise, cherché l’équilibre entre pessimisme et espoir.

Souscription réussie pour Corneille de Lyon

Le musée des Beaux-Arts a lancé une souscription pour acquérir L’homme au béret noir tenant une paire de gants, un tableau de ce portraitiste des têtes couronnées du XVIe siècle, étrangement absent des collections du musée de la ville où il a fait toute sa carrière. Après la saga de La Fuite en Egypte, tableau de Nicolas Poussin pour lequel le Musée avait mobilisé le monde de l’entreprise, Sylvie Ramond avait élargi son champ de conquête aux donateurs privés pour L’Arétin et l’envoyé de Charles Quint, un tableau signé Ingres. La nouvelle levée de fonds auprès du grand public a porté ses fruits et permis de faire l’achat de ce tableau, détenu par un collectionneur privé, mis sur le marché de l’art anglais par Christie’s pour un prix de près de 566 000€. Cette souscription a coïncidé avec une exposition « Dix ans d’acquisition, dix ans de passion », qui a permis au public de voir les œuvres qui ont enrichi les collections permanentes.

Les peintres de la lumière au Musée Paul Dini

Sous-titrée poétiquement « la couleur dans la lumière », cette exposition (qui fermera ses portes en février prochain), rassemble des toiles de peintres lyonnais (Jean Puy, Etienne Morillon, Georgette Agutte et Maurice Tête), notamment ceux du mouvement divisionniste, un des courants rangés dans le postimpressionnisme. Ce courant compte aussi des figures parisiennes comme Paul Signac ou Maurice Denis. L'occasion de voir des toiles venues de différents musées français dont le magnifique Château des Papes de Paul Signac ou l'étonnant Saint-Michel d'Aiguilhe sous la neige de Albert Dubois-Pillet, peintre et militaire.

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