Summer sessions au Transbordeur
Pour passer les soirées de fin de semaine en douceur, rien de tel que quelques transats, un bon sound-system et de quoi se sustenter. Et c'est exactement ce que propose le Transbordeur (en collaboration avec d'autres entités) pour ce mois de juillet. Au programme de ces deux dernières semaine, une soirée On air avec Blow et Effigie (duo lyonnais) et une autre placée sous la bannière hip-hop en accès libre sur réservations (le mercredi), les apéros graphiques du jeudi spécialement concoctés par Kiblind et les bals à thème (le vendredi moyennant la modique somme de 10 €). www.transbordeur.fr
Concerts de carillons
Le carillon de l'Hôtel de ville, installé en 1919 comporte 29 cloches en 2 octaves et peut jouer à peu près tout. L'occasion de l'écouter en toute quiétude à la fraîche en se posant sur une des terrasses de la place des Terreaux ou dans la pelouse place Louis Pradel. On pourra découvrir les talents du maître carillonneur, Charles Dairay, titulaire depuis 2002, jouant aussi bien des airs populaires que des partitions classiques ou de la musique traditionnelle. Les 22 juillet, 5 et 12 août à 21h
La Grande Côte en solitaire
Créé en 2007 par la cie l'Ornithorynque, le festival la Grande côte est sans doute l'un des seuls de ce type en France. Consacré exclusivement à la forme solo, il s'étend entre l'Amphithéâtre des trois Gaules (point information) et la montée de la Grande Côte pour donner à voir et à entendre toutes sortes de propositions, solitaires. Plus d'une centaine d'artistes sont déjà passé.es par là, tel DJ twelwe de nos célébrissimes Hightone, Christian Olivier des non moins connues Têtes raides ou encore Didier Wampas. C'est le lieu idéal pour tisser des liens d'intimité et de proximité avec les artistes. Il est vivement conseillé de réserver, à cause de très petites jauges : resagrandecote@gmail.com ou au 0662399446. du 25 au 27 juillet.
l'Homme de la rue
Le collectif A'R présente sa dernière création L'homme de la rue juste après son passage au festival Châlon dans la rue. Glissant de la scène (la boîte noire) à la rue, cette jeune compagnie réunit un batteur, une danseuse et un danseur et aime se confronter à l'espace urbain, sa rudesse et sa spontanéité aussi. Ici, le collectif s'installe dans une rue, deux batteurs, un danseur et une danseuse, entre le public dans un dispositif bi-frontal) en explorant « l'effet quidamus ». Un domino gestuel, sonore et rythmique s'installe et entraîne peu à peu les quatre partenaires puis les spectateurs vers un lâcher-prise collectif. 26 (rue Dumas, entre la rue Saint-Pierre de Vaise et la rue des Tuileries, Lyon 9ème) et 27 (place du Petit-Collège, Lyon 5ème).