Au mieux, se contente-t-on d’un enregistrement qu’on oubliera dans sa CD-thèque en se promettant de le réécouter. Et puis on passe à autre chose. Mais parfois, la découverte vaut son pesant de croches. On se souvient de La Madeleine au pied du Christ, oratorio sublime d’Antonio Caldara, révélé par René Jacobs. Il faudra désormais compter avec Le déluge universel de Michelangelo Falvetti et Elena de Francesco Cavalli, deux oeuvres du XVIIe siècle, recréées par le charismatique Leonardo Garcia Alarcon. La première a revu le jour à Ambronay en 2010, la seconde il y a quelques jours à Aix-en-Provence. Deux festivals qui ont bâti la légende d’un jeune chef argentin promis à une belle carrière et que d’aucuns voient à la tête d’une grande maison d’opéra. .../...
Lire la suite dans le Tout Lyon Affiches n° 5058 du samedi 20 juillet 2013