A n’en pas douter, deux éléments l’ont guidé dans son choix, comme plus tard dans sa vie : la logique cartésienne et l’aspect humain. « J’applique des règles dans le cheminement de ma pensée, sans état d’âme, pour aboutir à une décision. Ensuite, je prends en compte le facteur humain dans son application ».
Avec cette démarche, c’est donc vers le notariat, plus que vers l’avocature, que Jean-Pierre Prohaszka s’est tourné, en particulier suite au procès d’Action Directe auquel il a assisté et dont la plaidoirie l’a fortement marqué. Pas positivement, semble-t-il… « Je me suis alors tourné vers le notariat (diplômé en 1993) et j’y ai trouvé ce que je cherchais, tout en me plaçant sur des rapports de consensus ». Défendre un équilibre, chercher une conciliation, obtenir l’apaisement, régler un litige en sortant avec un bon accord sont des points qui correspondent fondamentalement à la structure de son esprit.
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Jean-Pierre Prohaszka : valeurs et convictions
Plus scientifique que littéraire, avec un bac Biologie en poche obtenu à Valence et un désir de devenir avocat, il se dirige vers le droit (Lyon 3), dont les mécaniques juridiques sont pour lui aussi rigoureuses que celles des sciences.
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