Frédéric Faure exprime ainsi une spontanéité et un enthousiasme naturels qui font de lui un homme ambitieux. Il saisit alors cette opportunité de carrière pour évoluer au sein du CNRS, un établissement qu’il affectionne particulièrement : « Je suis profondément attaché à cette structure riche et variée qui est le reflet de la société. » Il voue ainsi une grande fidélité au CNRS qu’il intègre en 1977 pour son premier emploi, après des études de commerce à Paris.
Un bref passage de deux ans dans l’entreprise familiale lui pose tout de même un cas de conscience personnel. Mais il demande sa réintégration au sein de l’organisme public où il est alors nommé négociateur des marchés nationaux. Sans regret, puisqu’il occupe cette fonction pendant dix ans avant de rejoindre le bureau des pensions et accidents du travail de Caen, un poste qui lui demande des capacités d’autonomie et d’innovation. Son investissement lui vaut d’être lauréat du Cristal CNRS en 2004, pour son implication dans la mise en oeuvre du dispositif portant sur la réforme des retraites. Cette distinction récompense les membres du CNRS pour leurs contributions exemplaires dans l’accompagnement de la recherche. .../...
Lire la suite dans le Tout Lyon Affiches n° 5033 du samedi 26 janvier 2013
Frédéric Faure : « J’aime les défis »
Il n’a pas hésité longtemps, dix minutes de réflexion lui ont suffi pour accepter le poste de délégué régional du CNRS Rhône Auvergne qui lui était proposé en fin d’année 2012.
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