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Digit my biz facilite la collecte de données clients

La plate-forme web lyonnaise permet aux artisans, commerçants, TPE, PME/PMI d'amorcer, en quelques clics, la digitalisation de leur relation client en collectant facilement des données.
Arnaud Latourrette et David Marre, co-fondateurs et dirigeants de Digit my biz
Photo DR - Arnaud Latourrette et David Marre, co-fondateurs et dirigeants de Digit my biz

EconomieLa Start-up qui change votre quotidien Publié le ,

Il suffit de quelques minutes pour s'inscrire sur digitmybiz.com et générer une interface personnalisée depuis laquelle les utilisateurs peuvent rapidement mettre en place, après avoir choisi leur formule d'abonnement, une série d'actions destinées à leurs clients. Demande dématérialisée de coordonnées clients, construction d'un fichier clients optimal, jeux concours, étude de satisfaction, sondage en ligne intégrant jusqu'à 5 contenus (photo, vidéo, texte) différents - un système quasi-unique en France – autant d'outils pensés pour récolter, de façon libre et autonome, des données clients. "Il s'agit de mieux les connaître pour les faire venir dans son point de vente afin, in fine, d'augmenter son chiffre d'affaires. C'est une façon d'accélérer la transition numérique de ce vivier énorme d'entreprises", souligne David Marre, co-fondateur avec ArnaudLatourrette de la SAS Dafworks qui exploite la plate-forme.


Lancée en mai 2015, la start-up compte une vingtaine de clients régionaux, essentiellement axés sur la formule la plus complète. Elle vise la centaine d'abonnés d'ici juin 2016 et les 150 000 € de chiffres d'affaires d'ici à la fin de l'année. Pour compléter son offre, et toucher les grands comptes, elle propose un service d'accompagnement personnalisé et sur-mesure, via un partenariat qu'elle a signé avec Tweedi, une agence lyonnaise spécialisée dans le marketing et le digital.
La
start-up multiplie les initiatives pour séduire les investisseurs afin de répondre à ses objectifs de croissance (chiffre d'affaires prévisionnel : 6 M€ en 2019) et à ses ambitions de recrutement. "Nous aurons besoin de digitales natives pour bousculer notre équipe de quadra qui s'est construite loin des codes habituels des startuppers", conclut avec humour le directeur général.

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