On parle ici de corruption et de normes non respectées qui pourraient affecter les relations inter-pays. Pas si facile alors de mesurer ce risque. Le cas de l'embargo russe, où in fine le business a pu se poursuivre et où les entreprises françaises n'ont pas dans leur ensemble rapatrié leurs troupes, apporte un début de réponse. Ainsi l'assureur-crédit Coface a-t-il mis en place un indice original du risque politique qui distingue deux grands risques : le risque sécuritaire (conflits et terrorisme) et la fragilité politique et sociale. Si le premier empêche directement les entreprises d'exercer leur activité, le second a souvent un effet plus indirect, via la confiance.
Confiance, risque et business
Le contexte de tensions politiques entre l'UE et certains pays d'Europe centrale et orientale comme la Hongrie, la Pologne ou la Roumanie pose une question : le risque politique ainsi engendré impacte-t-il sur le courant des affaires établi ?
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