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Clémence Durieux a soif de croissance

Trois ans après le lancement de son projet entrepreneurial, Clémence Durieux passe à la vitesse supérieure, avec une levée de fonds qui dopera la croissance de « Le Bon Gustave », la start-up capable de dénicher n'importe quel vin.
Clémence Durieux, Créatrice de la société Le Bon Gustave
Photo DR - Clémence Durieux, Créatrice de la société Le Bon Gustave

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A la fin du mois de juin, Clémence Durieux bouclera une levée de fonds stratégique pour assurer l'avenir de sa jeune société. Véritable détective privé vinicole, « Le Bon Gustave » est capable de retrouver n'importe quel nectar, y compris le plus rare, où qu'il se trouve sur la planète, à partir de son étiquette. Le concept a déjà séduit des amateurs de vin dans tout l'Hexagone. Mais pour aller au bout de ses ambitions, cette ancienne étudiante d'emlyon doit maintenant accélérer son développement. « Et pour cela, nous avons besoin d'investir », explique-t-elle.

Lancée au mois de janvier, cette levée de fonds doit lui permettre de mobiliser 400 K€, qu'elle entend utiliser pour « industrialiser » le service qu'elle propose et pour communiquer à plus grande échelle. « Nous devons consacrer nos ressources humaines au conseil et tout simplement à des tâches à valeur ajoutée », estime-t-elle. Avant d'ajouter : « Notre notoriété est en forte augmentation et nous enregistrons environ 150 demandes mensuelles. Mais nous pouvons et nous devons aller plus loin. » A terme de 3 ans, cette parisienne de naissance souhaite franchir le cap du million de Chiffre d'affaires, avant de partir à la conquête des marchés étrangers.

Pour l'accompagner dans cette aventure, Clémence Durieux, qui peut déjà compter sur trois investisseurs historiques, souhaite réunir 8 personnes dans son nouveau tour de table. « Je veux un board d'investisseurs actifs, qui amènent des capitaux, bien entendu, mais qui réfléchissent également avec nous au développement de l'entreprise », insiste-t-elle. Car « Le Bon Gustave », installé depuis l'automne dernier dans l'espace de travail collaboratif Nextdoor, à la Part-Dieu, entend bien se dessiner un avenir enivrant.

Jacques Donnay

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