Nous étions quatre garçons turbulents. J’étais le plus jeune et le plus agité ! C’est de là qu’est né mon amour pour l’eau », raconte Bruno Voisin. Toujours fidèle à cet élément naturel qui lui apporte un peu de sérénité, il découvre l’aviron à l’âge de cinquante ans, pour muscler un dos qui le fait souffrir. Sport miracle qui le guérit, l’aviron demande de la concentration et un dépassement de soi, une capacité à communiquer au travers d’un geste répétitif. « C’est un sport zen qui apporte un plaisir mental et intellectuel. Il lave la tête ! ». Et ce, dans une atmosphère aux charmes incomparables, tout au long d’un fleuve que Bruno Voisin décide d’explorer. .../...
Lire la suite dans le Tout Lyon Affiches n° 5045 du samedi 20 avril 2013
Bruno Voisin : comme un poisson dans l'eau
« Je passais mes vacances au bord de la mer et, avec mes frères, nous allions à la plage, nager ou faire de la voile, ce qui procurait quelques instants de tranquillité à ma mère.
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