AccueilEconomieLa Start-up qui change votre quotidienAvec Rue du Colibri, deux Lyonnaises créent une gamme textile pour les personnes atteintes de cancer

Avec Rue du Colibri, deux Lyonnaises créent une gamme textile pour les personnes atteintes de cancer

Sélectionnées dans le cadre du programme BigBooster pour un accompagnement au développement international, les créatrices de cette start-up lyonnaise affichent leurs ambitions.
Angeline Ribnadeau-Dumas et Lucie Gueyffier, créatrices de la société Rue du Colibri
Photo DR - Angeline Ribnadeau-Dumas et Lucie Gueyffier, créatrices de la société Rue du Colibri

EconomieLa Start-up qui change votre quotidien Publié le ,

Créée à Lyon en février 2020, la société Rue du Colibri s'est jouée de la Covid pour lancer ses activités. Portée par Lucie Gueyffier et Angeline Ribadeau-Dumas, cette start-up propose une gamme d'articles textiles spécifiquement conçus pour les personnes atteintes d'un cancer. "Nous avons imaginé une ligne de vêtements à la fois pratiques, confortables et esthétiques, qui respectent l'intimité des patients pendant leur traitement", expliquent-elles.

Encore embryonnaire, leur collection se compose pour l'heure d'un tee-shirt chimio et d'une chemise chimio pour femme, d'un manchon de protection du cathéter et d'un tee-shirt chimio pour homme. "Nous avons déjà finalisé un prototype de chemise chimio pour homme, que nous proposerons très bientôt, et nous travaillons sur trois nouveaux articles", poursuivent-elles.

Le défi de la notoriété

Commercialisée depuis le mois de mars sur le site internet rueducolibri.com, leur collection est également proposée par un réseau d'une vingtaine de distributeurs, basés essentiellement à Lyon et à Paris : perruquiers, pharmacies magasins de matériel médical. "La notoriété est le défi le plus important que nous devons relever aujourd'hui, analysent Lucie Gueyffier et Angeline Ribadeau-Dumas. La crise sanitaire nous empêche de nous faire connaître plus largement des prescripteurs."

Une fois cette dernière barrière levée, elles visent non seulement une diffusion dans l'ensemble de l'Hexagone, mais aussi dans les pays voisins d'ici trois à cinq ans. "La problématique à laquelle nous répondons se pose de la même façon partout", soulignent-elles.

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