Fort d’un titre de Second Prix de Rome en 1865 (à la suite d’un voyage en Italie qui lui ouvre les yeux sur l’architecture de la Renaissance), le jeune trentenaire commence à se faire la main sur des édifices religieux, comme le temple l’Eclecde l’Eglise réformée ou encore l’église Saint-Joseph, dans le quartier des Brotteaux. Cependant, il ne gagnera vraiment la célébrité qu’en supervisant les travaux du théâtre des Célestins et de la fontaine de la place des Jacobins. Aujourd’hui encore, on encense la beauté de son travail, régie par l’éclectisme et les aspirations diverses, vivier d’inspiration pour la « jeune » génération que compte un certain Paul Cret, ou encore Tony Garnier... .../...
Lire la suite dans le Tout Lyon Affiches n° 5080 du samedi 21 décembre 2013