Cette année encore, seules trois universités et écoles rhônalpines intègrent le palmarès, au-delà de la 100e place. A tel point que l’UE se lance dans la création d’un classement « concurrent », que l’on imaginera volontiers plus favorables aux universités européennes. Mais est-ce vraiment la bonne réponse ? Aujourd’hui que le chômage frappe de plein fouet les (sur)diplômés européens et que nombre d’entreprises du Vieux continent se plaignent de ne pas trouver les bonnes compétences sur leur territoire, pourquoi ne pas imaginer un classement des métiers en tension et des meilleures filières de recrutement ? La rentrée serait alors beaucoup plus… classe !
Florent Zucca